Parcours sur les deux périodes le Joe's beerhouse Oryx Girafe le Pan d'Etosha Zèbre de Burchell dans le pan d'Etosha (notez l'absence de rayure sur les pattes) Girafes au pan d'etosha le bain de boue de l'Elephant Impalas à face noire Au point d'eau d'Okaukuejo Rhinocéros by night à halali restcamp Chacun garde ses distances, point d'eau d'halali Elephant à Halali la Hyène aussi a besoin de boire nidification multiple même un arbre mort est utile la plaine et ses habitants Zèbre de Hartmann à hobatere (comparez avec celui d'étosha) maman Girafe et son Girafon Springboks en soirée rencontre à un point d'eau un Eléphant mâle solitaire un rhinocéros avec une corne remarquable la troupe de lions une superbe lionne un léopard dans les hautes herbes le léopard, un fauve de toute beauté troupeau de vache sur la piste sacrifice d'un vache chez les Hereros pour un mariage femmes Hereros les chûtes d'Epupa Baobab Epupa Falls village Himba (premier plan le grenier) femme Himba d'un certain âge une femme de l'ethnie Himba autour de la case un jeune Himba cimetière chez les Himbas les San du désert du Kalahari l'ethnie San, les mères et leurs petits paysage la lune en arrière plan paysage sur la route de Twyfelfontein un éléphant gravé les animaux de la savane la peinture rupestre de la dame blanche les tuyaux d'orgues rocheux la forêt pétrifiée paysage les Otaries montent sur les bateaux un Pélican dans la baie de Walvis une Baleine coucher de soleil sur un bateau échoué la jetée de Swakopmund le soir dans le désert du Namib la fin du jour dans le désert lever de lune au soleil couchant les dunes de Sossusvlei une superbe dune à Sossusvlei Dead vlei Dead vlei Dead vlei Solitaire qui porte bien son nom le Kokerboom ou grand Aloes dans les montagnes de Tsaris

Namibie, récit du voyage

premier séjour de 18 jours et le second de 16 sur place

Près de deux fois la superficie de la France pour 2 millions d'habitants, autrement dit un pays ou la nature est reine. La Namibie est composée d'immenses espaces désertiques et sauvages. Un voyage en Namibie nécessite donc de ne pas avoir peur de faire de la route (enfin de la piste), pour ma part j'ai conduit 3900 kms sur la durée de notre séjour.
Les villes sont peu nombreuses et la visite en est rapide. Vous irez certainement à Windhoek la capitale et dans ce cas ne manquez pas d'aller dîner au Joe's beerhouse. Ce restaurant contentera les amateurs de viande avec un choix et des portions assez exceptionnelles.
Notre circuit nous a mené en premier vers Etosha. Nous y avons vu un grand nombre d'antilopes de toutes espèces et bien d'autres mammiféres. Si l'on passe plusieurs jours à Etosha, il faut impérativement dormir à l'intérieur de la réserve. Les restcamps ont tous un point d'eau et le soir venu, on peut y observer des espèces qu'il est difficile de voir en journée.
Les antilopes (springboks, oryx) ne se cantonnent pas aux réserves. Nous avons pu en observer tout au long de notre voyage, c'est d'ailleurs assez étonnant.
Nous remontons ensuite vers le nord dans la région des himbas. Cette partie du trajet, nous amène en premier sur la ville d'Opuwo. Une sorte de ville de fin du monde. Les chutes d' Epupa à la frontière de l'Angola offrent un spectacle surprenant avec des eaux vives ce qui contraste avec le reste du pays. Le nord est le refuge des Himbas, les villages bordent la route et le mode de vie de cette peuplade donne l'impression d'un retour dans le passé.
Après cette incursion à l'extrême nord, nous entamons notre descente vers le sud.
Nous retraversons le Kaokoland puis le Damaraland, les paysages changent au fur et à mesure des kilométres, les animaux sauvages sont partout sur le trajet (antilopes, zèbres, chacals et même parfois des girafes).
Un petit tour par Twyfelfontein (peintures rupestres) et la forêt pétrifiée avant de rejoindre l'océan à Swakopmund.
Hors de question de se baigner, température de l'eau 13 degrés.
La ville de Swakopmund est sympathique, d'inspiration allemande, on a l'impression de ne plus être en Afrique mais en Europe.
La fraicheur de l'eau si elle ne permet pas la baignade offre d'autres avantages. En effet, la baie de Walvis héberge une belle colonie d'otaries. Ces otaries habituées à la présence des bateaux montent à bord de ses derniers sans aucune peur.
Nous avons en plus eu la chance de pouvoir nous approcher d'une baleine, il s'agit véritablement d'un spectacle plein d'émotion.
Aprés cette immense étendue d'eau, nous voici dans le désert du Namib. Le désert n'est pas constitué que de dunes, il y a aussi la chaine de montagnes du Naukluft.
Direction Sossusvlei pour voir les fameuses dunes de sables et aussi le site de dead vlei.
Les dunes comme dead vlei sont vraiment un spectacle extraordinaire. Je ne vois pas personnellement l'intérêt d'escalader plus particulièrement la dune 45 hormis le fait qu'il y a un parking pour s'arrêter.
vous pouvez aller jusqu'à dead vlei avec votre véhicule si c'est un 4*4, par contre le risque de s'ensabler est réel, j'ai failli en faire l'expérience.
Les arbres morts de dead vlei constituent une curiosité naturelle assez fantastique, d'imaginer qu'ils sont figés depuis des siécles et ce pour toujours est assez étrange.
Suite à ce spectacle de toute beauté du Namib, nous nous dirigeons vers la chaine montagneuse de Tsaris. Là d'autres paysages nous attendent mais ce qui nous a touché, c'est la gentillesse des propriétaires du Zebra River Lodge.
L'ambiance y est amicale et familiale sans ostentation avec un véritable sens de l'hospitalité, ce qui change de certains lodges pour lesquels "business is business", cela mérite d'être mentionné.
Tsaris est notre ultime étape avant le retour sur Windhoek et la fin de ce nouveau périple. Bien sûr un dernier repas au joe's beerhouse histoire de finir en beauté.
Pendant plus de deux semaines, nous avons vécu sur la piste en croisant les troupeaux de vaches des Hereros, les antilopes, nous avons vu des paysages magnifiques. la Namibie est un pays pour ceux qui aiment les espaces vierges et le contact avec une nature encore en grande partie intacte.
Lors de note second séjour, nous avons fait en grande partie le même parcours mais plutôt que d'aller au nord, nous nous sommes dirigés vers le Botswana pour avoir un aperçu du désert du Kalahari. C'est là que nous avons pu rencontrer des individus appartenant à l'ethnie San. La plupart vivent dans des conditions de pauvreté extrême dans des régions qui offrent peu de ressources. Le regroupement dans des sortes de coopératives leur permet d'obtenir un peu d'argent par la vente de leurs produits artisanaux (bracelets, sculptures mais aussi de très belles peintures). Nous y avons passé un moment un peu en dehors du temps.

Idées

pour les carnivores et l'ambiance, le joe's beerhouse à Windhoek

Etosha, il faut dormir dans les restcamps de la réserve. Vous verrez le soir, les animaux aux points d'eau du camp

les chutes d'Epupa, non seulement pour voir le pays Himba mais aussi pour les paysages

une promenade dans la baie de Walvis avec peut être la chance de voir une baleine et avec certitude les dauphins et les otaries

aller à la rencontre des San dans le Kalahari.


on peut aisément se passer de gravir la dune 45 avec la masse des touristes, ce qui permet d'arriver plus tôt sur le site de dead vlei

certaines réserves privées qui usent et abusent de notre envie de voir les animaux sauvages